Thierry Henry
De Wenger à Martinez: chronique d'une vie

Deuxième épisode de notre série Histoires de Diables. Jusqu'au Mondial en Russie, tous les quinze jours, la DH vous raconte la belge histoire d'une star de notre équipe nationale. Après Romelu Lukaku, deuxième épisode avec Thierry Henry.

De Monaco aux Diables rouges en passant par Arsenal, le FC Barcelone et Skysports,
Thierry Henry promène un vécu hors du commun.
Retour sur le parcours d'un amoureux du jeu qui a tout gagné, ce qui profite à la Belgique

"À 17 ans, j'ai vu qu'il était différent"

31 août 1994. Arsène Wenger débute ce qui sera sa dernière saison à l'AS Monaco. Il décide de lancer dans le grand bain un certain Thierry Henry, qui vient de fêter ses 17 ans. "Il avait des qualités techniques exceptionnelles, une bonne compréhension du jeu et c'était un super athlète. Avec sa vitesse et sa puissance, il était effrayant. Il avait tout. À 17 ans, je l'ai titularisé pour la première fois et j'ai vu qu'il était différent", détaille Arsène Wenger.

Les deux hommes vont prendre des chemins différents en 1995, pour mieux se retrouver outre-Manche en 1999. "Quand il est venu à Arsenal, à 21 ans, il est rapidement devenu la superstar qu'il méritait d'être." Depuis le départ d'Henry, Arsène Wenger n'a plus réussi à mener les Gunners au titre de champion. Une situation inconfortable qui a mis le technicien sur la sellette au printemps 2017 avant que le club ne décide de prolonger l'Alsacien. "En tant que supporter d’Arsenal et que joueur qui a eu Arsène comme coach et qui a beaucoup d’admiration pour lui, je suis content de le voir rester au club. Mais le temps dira si c’était la bonne décision" admet l'attaquant français.

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