« Depuis la création de Lampiris, mon associé et moi partageons le même espace de travail. Cela facilite les échanges ! »
« Si je tiens particulièrement à un objet dans cette pièce ? Mon ordinateur ! »
« Je préfère les plus petits bureaux. Cela résonne moins. Et les mètres carrés sont précieux dans une entreprise »
« Jeune employé de Belgacom, j’avais été très impressionné par le bureau de John Goossens. »
« Le point fort de mon bureau ? Il y a énormément d’espaces de rangement »
Que faites-vous principalement dans ce bureau ?
« Le plus clair de mon temps professionnel je le passe ici. J’ai également une présence à Sclessin au Standard. Dans ce bureau, mon ordinateur et ma boîte mail sont mes outils principaux de travail. Tous les documents qui concernent Lampiris sont stockés sur une grande plateforme à laquelle j’accède facilement. Vous remarquerez que mon associé et moi avons renoncé il y a quelques temps au téléphone fixe car désormais tout passe par téléphone ou par mail. Un choix qui renforce le côté épuré de mon bureau »
« Nous sommes dans les deux cas de figure. Lorsque j’ai un dossier particulier à confier à quelqu’un, je préfère aller directement à la rencontre de la personne. J’aime bien me promener aussi dans les services et rencontrer les équipes. La croissance de l’entreprise a eu pour conséquence positive l’engagement de nombreuses personnes, c’est une très bonne façon d’aller vers elles.C’est en tout cas plus simple que le cheminement inverse… »
« Il n’y a pas de mauvaise nouvelle chez Lampiris (rires). J’ai tout à fait intégré cette dimension. C’est en effet plus difficile de venir dans notre bureau, surtout si les personnes ne me connaissent pas encore. Et, si mauvaise nouvelle il devait y avoir, cela passerait par notre directeur général. »
« C’est vrai ! Je garde cela pour la maison. Je ne nourris aucun fétichisme pour des objets particuliers. En tout cas, au niveau professionnel, je n’ai pas le besoin d’afficher des choses particulières. Dans mon bureau au Standard, c’est le même principe d’ailleurs. »
« Oui, je partage entièrement cette idée et je pense que c’est le cas pour beaucoup d’entrepreneurs. Cela se ressentira dans la manière d’aborder les événements, de gérer les situations. Moi, j’ai besoin d’ordre et je sais où se trouve tous mes dossiers dans les armoires. Mon associé est plus désordonné mais il sait parfaitement où tout se trouve. C’est d’ailleurs son argument premier pour expliquer son désordre (rire).
« Il me plaît ! Par contre, je pense ajouter un cadre ou l’autre… Pour le reste, rien n’est prévu au programme. »
« Je regarde en premier lieu s’il est rangé ! J’observe et je retiens des idées. Prenez mon bureau : je l’avais remarqué ailleurs. J’appréciais la découpe, le bois, le système très discret pour faire passer les câbles d’ordinateur… Je m’en suis donc fortement inspiré. »
« Au tout début de ma carrière, je travaillais pour Belgacom. Un jour, je me suis rendu dans le bureau de John Goossens, le patron de l’opérateur à l’époque. Il était vraiment très grand mais très bien rangé, ordonné. Un bureau qui lui ressemblait, qui reflétait sa personnalité. Pour un jeune employé, l’expérience était assez impressionnante. Et puis quelle vue en haut des tours ! »