« Je revendique d’être de l’ancien temps… »
« C’est un peu la brocante mon bureau… J’ai un côté Louis la brocante ! »
« Parfois, on a pas le moral… Alors on vient ici et on retrouve des tas d’objets qui rappellent l’histoire Bouglione »
« Je me documente sur ce qui se faisait avant et se fait aujourd’hui dans le cirque. J’étudie ! »
« Les nouvelles technologies ? Je suis encore un apprenti… »
« Sans nous et d’autres, le cirque du soleil n’existerait pas à l’heure actuelle… »
Un bureau-roulotte qui est plus dans un style ancien que moderne !
« Je revendique d’être de l’ancien temps. Si vous analysez le spectacle actuel de Bouglione, il y a de nombreuses touches de modernité car ce sont mes enfants aujourd’hui qui s’en occupent. Mais, ils savent bien que je veux garder une certaine tradition du cirque également. Il y en a pour tous les goûts et la formule plaît telle quelle. Et nous sommes toujours accompagnés de nombreux animaux comme les poneys, chevaux, chiens, lamas, chameaux… »
« J’ai une adresse professionnelle et une privée. Ne me les demandez pas ! Je ne les connais pas par cœur (rires)… Quand on doit m’envoyer quelque chose, je passe par mon secrétaire. Je l’appelle pour le prévenir. Je suis à l’ancienne quand même… »
« Au départ, je suis un artiste et vous savez que nous, les gens du spectacle, nous ne sommes pas très ‘bureaucrates’. J’ai des gens qui m’encadrent et assument une série de tâches bien mieux que moi… Ils sont d’ailleurs engagés pour cela. Moi, j’ai le sens du spectacle, j’ai toujours travaillé avec des animaux. Les chameaux ont remplacé les fauves mais le plaisir et la passion restent intacts. »
« Oui… A Paris, chez des entrepreneurs de spectacle. Ils ont des bureaux assez grands et de nombreux employés. Vous savez, cela n’a jamais été mon but de posséder ou de développer plusieurs cirques à la fois. Je fais ce qui me plaît et je ne vis pas dans l’envie. Mais, je sais reconnaître que j’ai vu des choses impressionnantes. Il y a quelques années, le crique Barnum & Bailey m’a invité aux Etats-Unis. C’était colossal… Pour le reste, je ne suis pas tenté ! »